La ville est étrangement asphyxiée par la multiplication des constructions anarchiques défiant les règles de la physique, cinq ans après le séisme. Au centre-ville de Port-au-Prince, dans les parages du Palais national, un mégaprojet de construction d’une cité administrative a du plomb dans l’aile, des mois et des mois après le passage des bulldozers ayant rasé des centaines de maisons. Les terrains vagues sont reconquis pouce par pouce par des gagne-petits, des réparateurs d’appareils électroménagers, des vendeurs de «pèpè », ces objets usager
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