Alors qu’il a été un peu partout avec lui à travers le pays au cours de la campagne électorale du premier tour de la présidentielle, le chef de l’État a soutenu qu’il n’avait pas favorisé Jovenel Moïse au détriment des autres candidats. Dans son traditionnel message de Noël, Michel Martelly a promis de céder le pouvoir le 7 février 2016 à un président élu.
« Il y a des membres de l’opposition qui pensaient que je facilitais un candidat. Je veux les rassurer que mes responsabilités comme chef d’État m’avaient exigé à dépasser tout comportement