Une commission sans mission

Au moment où des membres du Conseil électoral provisoire qui ont siégé au Bureau du contentieux électoral national (BCEN) sont impliqués dans un scandale de corruption, le président de la République nomme par arrêté la Commission d’évaluation électorale composée de cinq membres.

Lemoine Bonneau
Par Lemoine Bonneau
17 déc. 2015 | Lecture : 3 min.
Au moment où des membres du Conseil électoral provisoire qui ont siégé au Bureau du contentieux électoral national (BCEN) sont impliqués dans un scandale de corruption, le président de la République nomme par arrêté la Commission d’évaluation électorale composée de cinq membres. Michel Martelly s’est référé à un échange de correspondances entre l’institution électorale, le candidat à la présidence Jude Célestin et la Primature pour asseoir sa décision. Pourquoi le président de la République, en créant cette commission, précise à l’article 3 «q

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