Elles ont déjà, sur toutes les coutures, dénoncé les élections du 25 octobre. Et, parce que le CEP tient mordicus dans la poursuite du processus électoral, il a fallu alors que ces organisations de défense des droits humains franchissent une autre étape, celle d'occuper le béton, comme l'opposition, avant elles. Pas meillleur prétexte qu'un 10 décembre. « 25 octobre, c’était un scandale », a fustigé Pierre Espérance du RNDDH, lors de la marche du secteur des droits humains contre l’ « impunité électorale » et la recrudescence de l’insécurité à
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