Les étudiants ? Un groupe homogène ? Non. Ni dans le pire ni dans le meilleur. Certes, il y a les nouveaux monstres. Ceux qui, atteints de la perte de langage, ont recours à la violence, là où seuls des moyens intellectuels devraient être mis en œuvre. Ceux qui, apprentis idéologues totalitaires, estiment qu’ils détiennent la vérité, et que, toute parole non conforme à la leur doit être réduite au silence.
Ceux qui se foutent du vrai savoir mais considèrent la diplômation comme leur carte d’entrée au club de ayants droit et s’offu