Les camps de rapatriés se multiplient le long de la frontière entre Haïti et la République Dominicaine. Pas moins de quatre sites sont dénombrés dans le département du Sud-Est par les autorités locales. Les milliers d’Haïtiens revenus volontairement ou de force de la république voisine vivent leur quotidien dans des conditions infrahumaines, incapables de satisfaire leurs besoins de base, avec la tentation de repasser de l’autre côté, a constaté une équipe du Nouvelliste à Anse à Pitre. Une situation qui fait craindre une crise humanitaire dans
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