Violence électorale/Législatives

Le CEP déplore les « exactions » des partis politiques, mais ne les sanctionne pas

« Ale, pa peche ankò… » On pourrait prendre ce passage de la Bible pour traduire le communiqué rendu public lundi par le CEP pour lancer une mise en garde contre une quinzaine de partis politiques impliqués dans des actes de violence lors des élections du dimanche 9 août.

Robenson Geffrard
Par Robenson Geffrard
24 août 2015 | Lecture : 4 min.
« Ale, pa peche ankò… » On pourrait prendre ce passage de la Bible pour traduire le communiqué rendu public lundi par le CEP pour lancer une mise en garde contre une quinzaine de partis politiques impliqués dans des actes de violence lors des élections du dimanche 9 août. L’institution électorale reconnaît que les membres, les candidats et les sympathisants de ces entités politiques ont commis des exactions le jour du vote, mais décide de ne pas les sanctionner. Première mise en garde du CEP contre PHTK, Bouclier, VERITE, Fusion, KID, APLAH,
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