Jean Appolon n’a rien de ces divas perdues dans des corps d’homme. En sueur à notre arrivée dans l’espace où il tient sa classe, il ne nous fait pas poireauter sous prétexte qu’il va prendre un bain ou se changer pour se laisser prendre en photo. Il confie simplement son cours à un autre professeur. Il est d’un naturel peu habituel chez des artistes de son genre. Sa résidence depuis 1993 à Boston n’a pas tué le “Nèg Ravin Pintad” qu’il est.
Après quelques civilités échangées, le danseur qu’on retrouve après deux ans dit être motivé depuis 4 a
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