Le Nouvelliste (L.N.) : Au gré de vos souvenirs, parlez-moi de Syto Cavé.
Josaphat-Robert Large (J-R.L.) : Il faut aller à la source suprême des souvenirs, là où a pris naissance le commencement : Jérémie ! Syto, un ami de jeunesse, l’un des plus anciens. Nous allions, lui et moi, dire des vers à la Pointe, à l’époque des premières amours. Et le souffle de Syto était déjà profus. Une source d’inspiration certaine, c’était le va-et-vient des bateaux dans le port tumultueux de la Grand’Anse. Le plus beau poème de l’époque fut écrit naturellement
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