Par : Robert Paret
Il était une fois une jeune femme, d’une exceptionnelle beauté plus radieuse qu'un arc-en- ciel au printemps de mai, souffrant, depuis son plus jeune âge, d’un mal que l’on disait mystérieux et mystique. Un vieux du village dénommé Divinò, parce qu’on lui reconnaissait le don de divination, avait prédit ce mal incurable. La jeune femme avait, avec beaucoup de courage, accepté cette sentence, ne pouvant de nulle façon, selon Divinò, conjurer le mauvais sort. Elle s’était donc fait une raison et s’était même habituée à l’id