« Talon aiguille, talon d’Achille » : cri ameutant de trois femmes. Frustrées. Battues. Violées. Méprisées. Brutalisées moralement, psychologiquement ou physiquement. Mais elles s’assument. Elles cessent de croire en la fatalité pour embrasser, mi- méfiantes mi- confiantes, leur avenir. Sur le ton de la confidence, elles parlent de féminité, de maternité, d’avortement, de droit au bonheur et au bien-être, déconditionné par l’arrogance des machistes qui voient en elles des femmes au foyer ou des êtres réduits en esclavage.
L’actrice haïtienn
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous