Dans un hommage posthume à Michel, Syto s’attaque aux rites qui accompagnent la vie d’une vie. La finale est saisissante. À sa façon, il lutte contre les convenances :
«Une autre chose se répète aussi ici : l’enterrement est à 4 heures.
Entendez par là : l’enterrement aura lieu coûte que coûte à 4 heures.»
Fataliste, il ajoute :
«Nul ne semble pouvoir y échapper. On est tous convoqués à 4 heures.»
Paradoxalement, il nous demande d’opposer la résistance :
«À tout vivant, je demande de ne pas céder à ce genre de chantage.»
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