N’étant pas une institution permanente, le Conseil électoral provisoire doit, à chaque scrutin, se trouver une loi électorale, recommencer à recruter, se rééquiper et remettre en route une machine mi-neuve mi-usée. Pierre Louis Opont, président de l’actuel CEP, intervenant sur une station de radio de la capitale, a souligné, jeudi, que le Conseil électoral a le malheur, à chaque fois, de partir de rien. De presque rien.
De presque rien, car autour du berceau de chaque nouvelle fournée de conseillers électoraux, il y a des organisations non gou