Ces derniers temps, les avocats ne sont pas heureux. Ils expriment au quotidien leurs frustrations. Certains disent même regretter d’avoir choisi de défendre la veuve et l’orphelin, tout en reconnaissant en la profession d’avocat une certaine noblesse. Certes, ils sont nombreux à pratiquer cette profession. On constate aujourd'hui une pléiade de jeunes avocats qui bousculent sérieusement leurs aînés vers la retraite. Pourront-ils assurer la relève? C'est la question que l'on se pose. «Avocat, juriste qui peut, et non qui veut», dit-on souvent.