Par Claude Bernard Sérant
Le film documentaire de Joseph Hillel, « Ayiti TOMA. Au pays des vivants », projeté hier soir à Paradoxe Au Café des arts, conduit à plusieurs pistes de réflexion, de quête identitaire et esthétique. Une piste remonte à l’histoire tragique et tourmentée d’Haïti. Dans une succession rapide d’images, le spectateur a l’illusion qu’il embrasse le condensé de siècles de tribulation.
Resituer dans son contexte historique, dans la construction du spectacle qu’il propose, ce qu’il donne à voir et à interpréter, cadre, en qu
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