Note d'un collectif de chercheurs et chercheuses spécialistes des relations haïtiano-dominicaines

Le 4 février, Claude Jean Harri, “Henry” ou “Tulile,” a été retrouvé mort et pendu à un arbre du parc Ercilia Pepín, à Santiago, République dominicaine.

April J. Mayes Associate Professor of History Co-Chair, Haiti-DR Section, Latin American Studies Association Co-Founder, Transnational Hispaniola Collective/ Kiran Jayaram, Ph.D. Postdoctoral Fellow Co-Chair, Haiti-DR Section, Latin American Studies As
Par April J. Mayes Associate Professor of History Co-Chair, Haiti-DR Section, Latin American Studies Association Co-Founder, Transnational Hispaniola Collective/ Kiran Jayaram, Ph.D. Postdoctoral Fellow Co-Chair, Haiti-DR Section, Latin American Studies As
27 févr. 2015 | Lecture : 3 min.
Le 4 février, Claude Jean Harri, “Henry” ou “Tulile,” a été retrouvé mort et pendu à un arbre du parc Ercilia Pepín, à Santiago, République dominicaine. Tulile était un jeune homme haïtien qui travaillait comme cireur de chaussures pour entretenir sa femme et ses deux enfants. Au début, des rumeurs ont circulé qu’un Dominicain, motivé par un sens élevé de patriotisme, aurait tué Tulile et l’aurait pendu, servant, peut-être, une campagne antihaïtienne plus large. La veille, aussi à Santiago, des membres du Mouvement patriotique indépendant avaie
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