Le Nouvelliste : Pour en arriver là, vous devez bien avoir une petite histoire…
Estaïlove Saint-Val : Elle n’est pas compliquée. Dès mes 12 ans, j’aimais prendre des clichés. Une cousine venant de l’étranger avec son petit appareil m’offrait la possibilité de m'amuser en photographiant la famille. Des années ont passé. Grâce à mon cousin Jean Marc Hervé Abellard, j’ai pu immortaliser des cérémonies de mariage, recevoir mon premier salaire. Cela m’a plu. J’ai donc intégré le CEPEC (Centre d’études photographiques et cinématographiques) et suivi