Roland Léonard
De la part de ce grand romancier du XXe siècle, membre de l’Académie française (1946), père de l’unanimisme, préfèrant la peinture de l’âme collective à la psychologie individuelle, la forme de ce roman est surprenante. L’intrigue, les faits et l’agencement des chapitres semblent emprunter aux procédés du roman policier classique. On pense au genre du polar d’enquête, du mystère à résoudre, voire de la «murder party»; pourtant on ne peut s’empêcher d’évoquer le roman de mœurs à son sujet.
Henri Chauverel, orphelin de père dès
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