Un an après, le dossier du couple Dorsainvil toujours dans l’impasse

Un an après l’assassinat du couple Dorsainvil, la Plateforme des organisations haïtiennes de défense des droits humains (POHDH) dénonce avec véhémence le laxisme de la justice haïtienne dans le traitement dudit dossier. Elle estime inconcevable de continuer à claironner que Daniel Dorsainvil et sa femme ont été assassinés par des bandits non identifiés.

Jhonson Baptiste
Par Jhonson Baptiste
12 févr. 2015 | Lecture : 2 min.
Entre indignation et angoisse, la Plateforme des organisations haïtiennes de défense des droits humains (POHDH) a célébré, le 8 février 2015, le premier anniversaire de l’assassinat de l’ex-coordonnateur de la plateforme, Daniel Dorsainvil, et de sa femme Girldy Larèche. Plusieurs défenseurs des droits humains se sont réunis dans les locaux de la POHDH et dans la ville du Cap-Haïtien pour dénoncer, une fois de plus, la légèreté avec laquelle les autorités judiciaires et policières gèrent ce dossier. Le secrétaire exécutif de la POHDH, Antonal
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