La quête frénétique de l’avoir

Si je devais consacrer mon temps libre à entreprendre une réflexion sur l’éthique, je n’aurais pas manqué de mettre en parallèle l’urgence du quotidien et la pression sociale.

Jean-Claude Boyer
Mardi 3 février 2015
Par Jean-Claude Boyer Mardi 3 février 2015
27 févr. 2015 | Lecture : 2 min.
Si je devais consacrer mon temps libre à entreprendre une réflexion sur l’éthique, je n’aurais pas manqué de mettre en parallèle l’urgence du quotidien et la pression sociale. A chaque fois qu’un écart est commis par un membre d’une profession libérale ou d’une corporation comme cela a été le cas avec les largesses du Palais de la présidence à la Noël 2014 envers les journalistes qui y sont accrédités, l’on évoque l’éthique. L’on répète à satiété qu’au nom de l’éthique, ils auraient dû résister à la tentation et ne pas mordre au fruit défendu.
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