“Moi j’aime les coups d’Etat; on ne peut pas régner sans cela, soit qu’on les provoque, soit qu’ils résultent d’événements inattendus, on doit savoir en tirer le meilleur parti possible…. Soulouque n’aurait pas passé du fauteuil de la présidence au trône de l’Empire sans le concours du coup d’Etat du 16 avril 1848”
Evidemment, ce n’est pas moi qui parle.
Ces paroles sont du président Salomon et ont été rapportées par Alain Turnier dans Avec Mérisier Jeannis. Aussi ne faut-il pas s’étonner que l’intéressé ait pu se faire réélire par le biais d’
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