Dans les parages de l’INAGHEI, ça chauffe. Des pneus grillent. La chaussée est recouverte de pierres. Comme pour faire sienne la chanson à la mode depuis l’appel à la grève des syndicalistes du transport en commun, un étudiant, torse nu au milieu du décor, indique que quand le « prix du pétrole chute sur le marché international, il doit l'être également en Haïti. » Confrontés aux mêmes problèmes que la population dont le pouvoir d’achat est en berne, les étudiants étaient une poignée à demander à l’État de respecter les règles du jeu, du marché
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