« Les organismes de protection et de défense des droits humains prennent acte de l’installation d’un nouveau Premier ministre et de son gouvernement sans la ratification préalable au Parlement de sa politique générale, conformément à la Constitution et aux principes fondamentaux en matière de démocratie », lit-on dans la note dont une copie a été déposée au journal.
Plus loin, les 20 organisations déclarent avoir constaté aussi « avec regret le dysfonctionnement du Parlement haïtien, le 12 janvier 2015, en raison de la non-tenue des élections
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