Gérald Alexis
Dans les années 1950, si l’on a vu le souci de faire national survivre au mouvement indigéniste, la rupture avec son idée de beauté s’est faite dans l’art du Foyer des arts plastiques. Il ne s’agissait plus de choisir des sujets pour leur beauté, dans le genre beauté du paysage, beauté de la femme, mais de faire de belles œuvres avec des sujets troublants comme la misère physique et/ou morale. C’était là autant d’images en totale opposition avec cette idéalisation qui a été un des moyens choisis par l’élite intellectuelle pour