Quelques réflexions sur l’art haïtien : Diversité

Gérald Alexis Dans les années 1950, si l’on a vu le souci de faire national survivre au mouvement indigéniste, la rupture avec son idée de beauté s’est faite dans l’art du Foyer des arts plastiques.

Gérald Alexis
Par Gérald Alexis
28 janv. 2015 | Lecture : 4 min.
Gérald Alexis Dans les années 1950, si l’on a vu le souci de faire national survivre au mouvement indigéniste, la rupture avec son idée de beauté s’est faite dans l’art du Foyer des arts plastiques. Il ne s’agissait plus de choisir des sujets pour leur beauté, dans le genre beauté du paysage, beauté de la femme, mais de faire de belles œuvres avec des sujets troublants comme la misère physique et/ou morale. C’était là autant d’images en totale opposition avec cette idéalisation qui a été un des moyens choisis par l’élite intellectuelle pour
CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.