Sur la dimension humaine du joueur de compétition

Lorsqu'au soir du lundi 19 janvier 2015, j’entendis un commentateur glisser à son collègue que Vincent Kompany accuse une faiblesse –sinon il n’aurait pas raté un contrôle, ce qui provoqua soit un but encaissé, soit un penalty-, je ne manquai pas de me souvenir de l’explication que je fournissais dans la matinée à Raphaël Féquière lors d’un bref échange.

Jean-Claude Boyer
Mercredi 21 janvier 2015
Par Jean-Claude Boyer Mercredi 21 janvier 2015
21 janv. 2015 | Lecture : 3 min.
Lorsqu'au soir du lundi 19 janvier 2015, j’entendis un commentateur glisser à son collègue que Vincent Kompany accuse une faiblesse –sinon il n’aurait pas raté un contrôle, ce qui provoqua soit un but encaissé, soit un penalty-, je ne manquai pas de me souvenir de l’explication que je fournissais dans la matinée à Raphaël Féquière lors d’un bref échange. En effet, j’effectuais en sa compagnie le point sur la forme des joueurs évoluant dans les championnats européens et qui reviennent de blessure. Le premier à occuper l’esprit est le Suédois Zl
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