Manifestations de rue/Violence

Fanmi Lavalas dénonce, Fusion menace de porter plainte

La manifestation de l’opposition politique le samedi 17 janvier a été émaillée de violences. Plusieurs pare-brise de véhicules ont été cassés. La police nationale a riposté avec des projectiles en caoutchouc et du gaz lacrymogène. En colère, les protestataires ont lancé des pierres et des tessons de bouteille sur les locaux de l’organisation politique Fusion. Alors que Fanmi Lavalas dénonce ce qu’il appelle « les violences perpétrées par la police du gouvernement de facto », la Fusion menace de porter plainte contre des militants de Lavalas et de MOPOD.

Robenson Geffrard
Par Robenson Geffrard
20 janv. 2015 | Lecture : 4 min.
Les militants des organisations politiques de l’opposition Fanmi Lavalas et MOPOD ne décolèrent pas. L’arrivée d’Evans Paul à la Primature et la formation d’un gouvernement incluant des membres de partis politiques comme INITE et Fusion n’ont pratiquement rien changé. Les manifestations de rue pour réclamer la démission du président Michel Martelly se multiplient. A la suite des incidents enregistrés dans la manifestation du 17 janvier dernier, l’organisation politique Fanmi Lavalas « condamne énergiquement les violences perpétrées par la pol
CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.