En 75 minutes, Claudine Oriol transmet les effrois, les frayeurs, les horreurs, l’émotion, les désillusions que les Haïtiens ont éprouvés après seulement 35 secondes fatales. Car l’actrice voulait que son histoire soit authentique. « Je suis actrice, il est important pour moi de retransmettre les émotions qui nous ont traversés. Car, avant tout, il s’agissait d'êtres humains qui ont été les victimes », argue-t-elle, jurant que son travail est une œuvre haïtienne produite pour des Haïtiens et par des Haïtiens.
Devant les images montrant le br
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous