Selon l’expert en sismologie, la faille segmentée sur 250 kilomètres de la presqu’île du Sud à laquelle les prévisions scientifiques attendaient la libération d’énergie, n’a pas été celle qui a provoqué le tremblement de terre meurtrier du 12 janvier 2010. Il s’agissait plutôt, précise-t-il, d’une faille secondaire ignorée jusqu’à quelques heures après l’événement désastreux de 2010.
L’énergie de la faille de la presqu’île du Sud continue de s’accumuler et peut être libérée à n’importe quel moment de la durée pour provoquer ainsi un tremblemen
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous