Pour la seule journée du lundi 5 janvier 2015, le palais national et le Parlement ont dû renvoyer deux événements qui devaient marquer la rentrée de la nouvelle année. L’installation d’Evans Paul comme Premier ministre et l’ouverture de l’Assemblée nationale convoquant le Corps législatif en session extraordinaire. Le premier est un « raté » du pouvoir ; le second, l’intransigeance du groupe des six sénateurs de l’opposition.
Peu à peu, le pays se rapproche de la date « fatidique » du 12 janvier 2015. Une date qui marquera un double événemen