Volley-ball

Margareth Graham : Il faut coûte que coûte revenir à la case fondamentale

Margareth Graham : « Il faut coûte que coûte revenir à la case fondamentale.» Avec Serge Lubin, la présidente de la Fédération haïtienne de volley-ball, Margareth Graham, fait le point de la situation du volley-ball national.

Propos recueillis par Serge D. Lubin
Par Propos recueillis par Serge D. Lubin
15 janv. 2015 | Lecture : 4 min.
Serge D. Lubin - On dit souvent dans votre milieu que le volley fait partie des sports traités en parents pauvres en Haïti. Qu'est-ce que vous avez fait depuis votre ascension à la tête de la fédération pour changer la donne? Margareth C. Graham : Au sein du Comité exécutif (CE) et de la Fédé, nous nous attardons sur l'essentiel, qui est tout simplement de travailler au développement du volley sur tout le territoire, à travers: 1. Nos programmes qui ciblent les jeunes: a) les compétitions scolaires, b) les camps d’été, Mass Mini Volley. Ce
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