La grave crise politique que traverse le pays soulève bien des interrogations. L’incertitude gagne les foyers et une impression de déjà vu accable les consciences. À l’enthousiasme de tout chambarder a toujours succédé une incapacité de présenter une alternative viable et raisonnable. À chaque fois, la nation demande des comptes, et les comptes jamais soldés plombent continuellement les pouvoirs dont l’état de grâce ne dure que l’espace d’un cillement.
Une réflexion profonde doit être menée sur notre société atteinte de la peste émotionnelle