Ces jours-ci et pas que dans les officines, le Premier ministre Laurent Salvador Lamothe est considéré comme un « fusible », un « pont vers une fin de quinquennat relativement apaisée pour le président Michel Joseph Martelly ». Sacrifier Lamothe dans l’espoir d’une transition politique sans heurts qu’effectuerait Martelly au terme de son mandat constitutionnel de cinq ans serait, assurent quelques hommes politiques, acceptable et commode. Sans complexe, des alliés de l’administration évoquent la question.
Cette option aurait le mérite d’atti