Qualifiée « d’exécrable », de « pathétique », de « honteuse » ou de « passable »…,la performance du président Michel Martelly sur le plateau de TV5 avait fait couler beaucoup de salive. Peu de gens ont compris qu’un tournant venait d’être franchi ce jour-là, que le ton de la presse internationale envers le chef de l’Etat haïtien allait changer. Que son parcours atypique de chanteur populaire fricotant avec l’extrême droite, d’anciens putschistes, de duvaliéristes…, ne passionnait plus les rédactions.
Quelques mois avant d’entamer la dernièr