Les photos aériennes du Cap-Haïtien inondé sont plus parlantes que les correspondances des journalistes locaux. Presque aussi poignantes que le bilan –toujours affligeant- des morts et des blessés communiqué par les antennes locales de la Protection civile. Par endroits, la deuxième ville du pays ressemble à Gonaïves en 2004. Le bilan aurait pu être plus lourd. Bien plus lourd.
Pendant qu’on se chamaille sur les élections, gaspille du temps à des choses accessoires, le pays est passé à un cheveu d’un nouveau drame. Est-ce que nous en avons con
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