« Le gaz lacrymogène et l'eau utilisée pour disperser les manifestants sont de standard international », affirme le directeur départemental de la police de l'Ouest, André J. Vladimir Paraison, comme pour justifier la réaction des agents de l'ordre lors des dernières manifestations populaires à Port-au-Prince et à Petit-Goâve. Mais n'en n'ont-ils pas fait une utilisation outrancière ? M. Paraison n'y va pas de main morte : « La police ne fait que rétablir l'ordre et éviter des casses au moment où le besoin se fait sentir. »
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