Ebola, partir n'est pas le problème…

Si Michel Joseph Martelly, vendredi dernier, du haut de la tribune de la 69e Assemblée générale des Nations unies, disait de sa plus belle voix : « Je tiens à rendre un vibrant hommage à nos frères cubains, parmi d'autres peuples du monde, qui ont apporté leur soutien aux pays africains touchés par l'Ebola», moins d’une semaine plus tard le gouvernement haïtien, dans un communiqué musclé signé de trois ministres (Santé publique, Intérieur et Défense nationale), a interdit le départ de ressortissants haïtiens vers les pays affectés par le virus Ebola.

Si Michel Joseph Martelly, vendredi dernier, du haut de la tribune de la 69e Assemblée générale des Nations unies, disait de sa plus belle voix : « Je tiens à rendre un vibrant hommage à nos frères cubains, parmi d'autres peuples du monde, qui ont apporté leur soutien aux pays africains touchés par l'Ebola», moins d’une semaine plus tard le gouvernement haïtien, dans un communiqué musclé signé de trois ministres (Santé publique, Intérieur et Défense nationale), a interdit le départ de ressortissants haïtiens vers les pays affectés par le virus
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