A la tribune de l’Organisation des Nations unies vendredi dernier, le chef de l’Etat haïtien a raté une belle occasion pour parler de la situation migratoire entre Haïti et la République dominicaine et dénoncer la décision de la Cour constitutionnelle dominicaine. Alors que Michel Martelly a indiqué que les deux pays ont pris le chemin du dialogue, le coordonnateur du GARR a estimé que le président aurait dû en profiter pour permettre à l’ONU de se positionner. Pour le responsable de la Fondation Zile, l’occasion a été ratée de demander l’appui