Crimes financiers, la CSC/CA dira bientôt sa vérité

La CSC/CA, parallèlement à l’UCREF, à la CEA de Paul Denis, a mené son enquête sur la gestion administrative et financière du régime lavalas de l’ex-président Jean-Bertrand Aristide. Selon une source digne de foi, « des rapports d’enquêtes suggèrent à la Cour de mettre en débet conjointement et solidairement plusieurs anciens collaborateurs de JBA ». Contre Jean-Bertrand Aristide, considéré comme « le grand manitou », il n’y a cependant aucune trace de signature de chèque ni d’instruction écrite pour l'émission de chèque , a affirmé cette source. La Cour sort de son mutisme et annonce qu’elle dira sa vérité, en toute indépendance, huit ans après. Qu'en est-t-il de l'ordonnance du juge d'instruction Joel Osterich Hercules?

Roberson Alphonse
Par Roberson Alphonse
11 sept. 2014 | Lecture : 4 min.
Le président Fritz Robert St-Paul a confié au journal que les recherches effectuées au niveau du greffe de la CSC/CA ont permis de voir que la Cour n’a pas été touchée par l’ordonnance du juge d’instruction Joel Osterich Hercules l'enjoignant à enquêter sur des crimes financiers reprochés à l'administration de l'ex-président Jean Bertrand Aristide. « Le juge d’instruction n’avait pas demandé à la Cour de statuer sur ce qu’on appelle une question préjudicielle », a affirmé le président de la CSC/CA. Cependant, poursuit Fritz Robert St-Paul, «
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