D'année en année, on ne cesse de constater le caractère catastrophique des résultats aux examens officiels. Pour les deux dernières années académiques (2011-2012 et 2012-2013), le taux de réussite se trouve en deçà de 30% pour la rhéto et 65% pour la philo. Si la situation est meilleure pour les classes de 6e et 9e année fondamentale, cela n'empêche que le nombre de redoublants atteint un niveau élevé. En dépit du coût énorme du redoublement, l'enregistrement d'un taux élevé d'échec aux examens officiels serait devenu, avec le temps, un phénomè