Le rire du poète disparu

Robin Williams qui s’est, selon toute apparence, suicidé le lundi 11 août 2014 est l’exemple-type du comique généreux et passionné.

Pierre-Raymond  Dumas
Par Pierre-Raymond Dumas
12 août 2014 | Lecture : 2 min.
Robin Williams qui s’est, selon toute apparence, suicidé le lundi 11 août 2014 est l’exemple-type du comique généreux et passionné. Il est fort commode de le réduire à deux de ses plus célèbres films («Le Cercle des poètes disparus», 1989, et «Madame Doubtfire», 1993). Son rire était magnétique, celui d’un caméléon, d’un clown, d’un enfant. Il faut revoir, par exemple, « Good Morning, Vietnam» (1987), «Hook ou la Revanche du capitaine Crochet» (1991), «Shakes the Clown» (1992), «Robots» (2005), «A. I. Intelligence artificielle» (2001). Une bête
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