Inrico Dangelo Néard
6 heures 22. La porte s’ouvre. Les cartes d’invitation sont retirées à un guichet improvisé pour l’événement. Au premier regard lancé sur le podium, se découvrent des corps vêtus sombrement. Tout le monde prend siège. De petites blagues partent de temps en temps. La bonne humeur, la bonne ambiance. De bons préliminaires, diraient les mordus des ‘‘aphorismes du désir’’.
Les voici. Huit sur scène. Sept hommes pour une fille installée derrière la batterie. Elle s’appelle Jehyna Sahyeir Celestin. Et c’est elle qui imprimera