« Ce n’est pas un concert-slam de textes érotiques », lit-on dans une note de l'institution, « mais un corps-à-corps entre plusieurs cultures et plusieurs rythmes. C’est donc un spectacle qui parle de l’amour dans toutes ses nuances et toute sa complexité : l’amour des gens, des mots, l’amour des femmes, de l’être humain… »
Le rideau se lève à 18 h. L’entrée à la salle Fokal-Unesco est sur invitation à retirer à la fondation. Alliant la musique, le chant et le slam, « Slama-sutra » mettra en vedette Eliézer Guérismé, Étienne Jean Rollet, Béona