Je réfléchis et souris en constatant que j’aborde avec plaisir et sérénité ma dernière année comme quadragénaire. Oui, je sais, je sais : les mauvaises langues vont certainement dire que j’ai mal cadré l’année, et que j’aurais dû écrire "septua" ou "octo"... Mais pourquoi anticiper ?
D’ailleurs aux gentils (ou fieffés) menteurs qui font des compliments du genre : "Oh c’est pas vrai, tu n’as pas tout cet âge !", ou bien : "Leu w granmoun vre ou pa p pale !" (comme si l’âge rendait bèbè) ; ou encore : "C’est une notion oui, la vieillesse, tout e