Réseaux sociaux. Ces mondes virtuels où sont projetés tous les événements et faits de la vie réelle, grâce aux liens qu’ils favorisent. Le mondial, comme tant d’autres événements, jouit de leur dynamique de vulgarisation, d’échange. En 2010, la Coupe du monde n’était pas ce qu’elle était seulement quatre ans plus tôt, dans ses bouillonnements sur la toile.
Tirée d’une approche sociologique sur les liens et les nœuds dans relations sociales, l’expression « réseau social » se donne un sens beaucoup plus répandu depuis quelque temps. On ne parle p
La Coupe du monde à l’ère des réseaux sociaux
Twitter a enregistré un nouveau record mondial de tweets après le match Brésil-Allemagne, le mardi 8 juillet dernier. Plus de 35 millions de tweets, battant ainsi le record tous sports confondus. Sur Facebook c’est pareil. Grande agitation avant, pendant et même des heures après chaque rencontre. Comme les stades, la toile s’enflamme, sous l’effet de la passion du jeu. Echanges, provocations, commentaires tous azimuts… Une grande épidémie. On est en 2014. Les réseaux sociaux sont désormais des outils incontournables pour la presse, mais surtout créent de plus fortes sensations autour des événements.