Le capitalisme américain selon John Kenneth Galbraith (XVI)

S’il prévient qu’il n’a nullement l’intention d’exposer de nouveau le système de Keynes – en clair, sa vision de la crise –, néanmoins il se propose d’aborder ultérieurement la partie plus constructive de son livre.

Jean-Claude Boyer
Dimanche 29 juin 2014
Par Jean-Claude Boyer Dimanche 29 juin 2014
23 juil. 2014 | Lecture : 3 min.
S’il prévient qu’il n’a nullement l’intention d’exposer de nouveau le système de Keynes – en clair, sa vision de la crise –, néanmoins il se propose d’aborder ultérieurement la partie plus constructive de son livre. Il croit d’emblée que Keynes a détruit, et pratiquement sans laisser aucune trace, les conclusions que l’on avait tirées de la loi de Say. Pédagogiquement, Galbraith rappelle en quoi consista l’apport de Jean-Baptiste Say, économiste français du XVIIIe siècle. «Le principe selon lequel la production fournissait le pouvoir d’achat né
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