« Aujourd’hui, j’enterre l’accord ! », a affirmé ce mardi 27 mai 2014 le président du Sénat, Dieuseul Simon Desras . Sur la « dépouille » de l’Accord d’El Rancho, il n’a versé aucune larme. Dans ce qui semble être l’oraison funèbre prononcée par le pire ennemi d’un défunt, le sénateur du Centre égrène les qualificatifs. C’était un « accord mort-né », « un nourrisson mort le jour de sa naissance », a expliqué le sénateur Desras, qui évoque une à une les causes, à ses yeux, du décès de cet accord politique obtenu sous les auspices de la Confére
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