Mercredi 16 avril 2014. Personne ne ronge son frein dans les appartements privés du président Michel Joseph Martelly. L’attente, entre gens de lettres, universitaires, hauts fonctionnaires de l’Etat et diplomates, est loin d’être désagréable. Le vin rouge semble de bon cru. Albert Chancy, au piano, met le zeste de festif à ce cocktail donné par le chef de l’Etat en l’honneur d’un immortel, l’enfant de Petit-Goâve, « l’écrivain du monde », Dany Laferrière.
L’après-midi ne sera pas sans fin. Oh que non ! Les choses s’accélèrent. Longtemps après