Par Robert Paret
Les adieux à Milo, au « Parc du souvenir », se sont passés dans la plus grande simplicité, comme pour s’ajuster à son tempérament. De nature calme et sereine, une cérémonie trop imposante nuirait à sa modestie. C’est pourquoi le père Grandoit, un de ses proches amis officiant en la circonstance, s’était abstenu d’une trop longue liturgie, se limitant à des prières d’action de grâces et à la bénédiction de la dépouille.
Après la cérémonie religieuse, son frère aîné Paul, prenant la parole, ouvrit son cœur dans une émouvante