Port-au-Prince figure dans l’avant dernière place du classement sur les conditions de vie dans les capitales du monde. Une petite visite au centre-ville peut bien justifier la place occupée par la capitale haïtienne dans le classement de Mercer Groupe. L’insalubrité, le niveau de la dégradation de l’environnement, l’état de délabrement écoeurant des infrastructures publiques aggravent la situation d’une capitale meurtrie par le tremblement de terre du 12 janvier 2010. Port-au-Prince présente le visage d’une ville en lambeaux, abandonnée par les