Pages retrouvées 10 janvier 2014

Robert Paret répond à un historien dominicain

Au moment où les amnésiques s'obtinent à flétrir l'âme nationale, à l'heure où l'infamie tend à couvrir de son voile opaque nos glorieuses pages d'histoire, à l'instant où la reconnaissance semble se terrer dans l'antre de l'ingratitude, il convient de redresser les torts, de donner un contenu à des silences coupables et de faire flotter au vent de la dignité le mérite et la mémoire impéressable des hommes d'exception qui nous ont légué cette nation.

Señor Manuel Núñez Ecrivain, historien, professeur à l’université. Monsieur, Depuis la décision du Tribunal constitutionnel de votre pays de déchoir de la nationalité dominicaine certains de vos compatriotes d’ascendance haïtienne, j’accorde une attention particulière à l’évolution de la situation créée par cette mesure discriminatoire, tant sur le plan interne qu’externe. Aussi, je m’informe quotidiennement, à travers la presse de mon pays et des articles qui me parviennent de partout, surtout de la République dominicaine, de la réaction
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